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Ses grandes toiles libres (2 m sur 1 m 60 / encres et acrylique)
vous toisent, vous observent, vous épient, ... ou fuient
votre regard.
Le face à face avec le spectateur devient échange,
immersion dans la toile.
Les encres se libèrent sur le tissu et deviennent flaques,
giclures. Douceur & brutalité, absence & présence
; des vides et tâches naissent des bribes d'humanité,
de corporéité.
Les peaux s'imbibent sur le lin, le lin ronge les peaux. Les corps
se font & se fondent ... se perdent dans les encres.
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